Notre vision
Au-delà du connu : l'inattendu


Par le travail intérieur des créateurs de récits,
la maîtrise nos capacités créatrices,
et la puissance des images
ouvrons la voie vers d'autres possibles.
NOS MOTIVATIONS
Inspirer pour impulser
Donner envie en imaginant le monde que nous voulons voir, le rendre concevable par nos récits, pour impulser le désir de le créer (plutôt que de pousser à réagir par la peur de ce que nous voulons éviter).
Inspirer le changement par le désir, l'ouverture des possibles et l'émerveillement, et non pousser au changement par la peur et la contrainte (les rendant, de fait, nécessaires).
Changer notre relation à l'adversité
Est-on capable de concevoir un monde sans lutte ?
Que nous soyons pour ou contre l'objet d'une lutte, nous contribuons à faire perdurer son existence. C'est une chose de révéler et mettre en lumière ce qui demeure dans l'obscurité, c'en est une autre de le combattre.
En tant qu'imaginateur d'histoires, la première lutte dont il nous faut sortir est la soit-disant bataille des imaginaires.
J'ai fondé Création Luminak dans le but : d'élargir l'accès à nos imaginaires par un travail sur la mémoire cellulaire, d'où proviennent nos histoires (re)définir ce qui motive et structure nos récits libérer le plein potentiel de nos capacité créatrices créer une communauté d'imaginateurs engagés pour coopérer dans la production de récits inexplorés jusqu'ici
Créer de
nouveaux imaginaires
Ne plus s'inspirer des genres et structures existants mais permettre l'émergence de nouvelles formes que nous ne connaissons pas encore.
Rendre l'inévitable
obsolète
L'acte de création
comme voie initiatique
Si tout était possible,
que choisiriez-vous ?
La potentialité nous dit que tout est possible, et pourtant, il nous semble difficile de sortir de notre imaginaire actuel. Comme enfermés dans un modèle de créativité, nous tournons en rond sur les mêmes formes récits, ne racontons que trop rarement de nouvelles histoires et avons fait de notre pouvoir créateur une usine à dystopie, générant un enfermement dans la peur, l'anxiété et la lutte.
Les images dystopiques représentent encore la majorité des représentations actuelles de notre présent et de notre avenir, dont il nous est difficile de nous détacher.
Tant que notre imaginaire sera motivé par la peur, il nous sera difficile - pour ne pas dire impossible - de s'extraire de cette vision et de concevoir d'autres possibles.
Notre élan créatif doit être impulsé par d'autres émotions, depuis un autre espace et nourrir d'autres intentions que celles d'éviter le pire, de résoudre des problématiques, de .
Car ce faisant, nous nous détournons d'une question essentielle : que voulons-nous vraiment ? Le savons-nous seulement ? Il y a, là aussi, la nécessité de cesser d'avoir peur des réponses à ces questions.
Tout est possible. Que voulez-vous vraiment ? Quelque chose qui ne soit pas une réponse-réaction à une contrainte extérieure qui nous menace.
Un monde sans lutte,
utopie ?
Nous avons encore besoin de l'adversité pour progresser. Savons-nous pourquoi ?
Pour autant, elle n'est pas indispensable et il existe d'autres voies pour grandir en Soi. Quelles sont-elles ? Comment changer notre relation à l'adversité pour faire en sorte de ne plus avoir à lutter ? Comment rendre cette adversité obsolète, et inutile à notre chemin de prise de conscience ? Est-ce seulement possible ? Comment cela se manifesterait dans nos vies, dans nos récits, dans nos société?
L’ennemi en est-il vraiment un ? Doit-on forcément le détruire pour s’en sortir et avancer ?
Le modèle sur lequel nous nous sommes construits, et sur lequel nous avons bâti tout ce que nous avons créé, nous a enfermé dans un vision duale de la matière.
La lutte et la confrontation sont-elles les seules issues ? A quoi ressemblerait un monde sans lutte ?
L'idée est de ne plus se servir de l’ennemi pour engager une lutte, mais pour comprendre le message qu’il nous amène, et l'utiliser pour rendre son existence obsolète grâce à nos mouvements intérieurs.
La nouvelle aventure humaine se tient dans notre capacité à dépasser une dualité destructrice, à cesser d’être en résistance à ce que nous rencontrons.
Sommes-nous capable de concevoir qu'il soit possible d'aller d’émerveillements en émerveillements, plutôt que d’épreuves en épreuves ?
Qu’est-ce qui détermine l’intensité de nos vie s’il n’y a plus d’épreuves pour se dépasser ?
Est-il possible de se dépasser sans passer par la saturation et la souffrance ?
Les parcours proposés chez Luminak ont pour intention de pouvoir accéder à cette nouvelle conception des possibles. Rendre cette relation au monde et à nos vies concevable, comprendre comment cela se manifeste au quotidien, comment sortir de ces schémas pour laisser la place à notre essence et remettre de la magie dans nos vies, et dans nos récits.
Sortir du monomythe
de nos récits de vie
S'affranchir de la principale structure de récit qui modélisent les récits dominants actuels: de fiction, de vie, de société, ...
Au-delà du Graal : sortir d'une quête sans fin
L'interprétation actuelle du Voyage du Héros pour nos récits est l'équivalent de la vision newtonienne de la Réalité : il manque une version de l'histoire, sous-jacente.
En nous donnant un cadre et une structure, il a également bridé notre créativité. Cette structure de récit qui nous place dans un mouvement rectiligne uniforme où notre créativité se limite à trouver des solutions aux contraintes que nous rencontrons, sous la forme de crises.
Ce trajet rigide et unidirectionnel nous enferme dans une sorte d'inertie des récits : il nous est difficile d'imaginer une autre façon de franchir les étapes d'un chemin universel, dont le voyage du héros ne représente que le commencement.
Cette vision, utile pour comprendre d'où nous venons et la façon dont nous avons progresser jusqu'ici, à atteint son but. Nous vous proposons de sortir de ce modèle pour élargir votre vision des récits, tant sur le fonds que sur la forme.
Réinventer notre posture
pour réinventer nos héros
Nous sommes allés au bout d’une forme de récit héroïque qui s’essouffle. Le monde n’a plus besoin de héros providentiels venus nous sauver, mais de gens inspirés s’engageant envers eux-mêmes tout en participant à une dimension plus vaste de soi.
Prouver et éprouver leurs capacités au travers d'une quête égocentrée.
Le monde n'a pas besoin d'être sauvé : il nous envoie des messages sur nous-même.
Que nos héros, lancé dans une quête égocentrée pour prouver leur valeur en s'éprouvant à travers des épreuves, deviennent des personnages centraux nous prêtant leur sens le temps d’une histoire dans le but de nous partager une nouvelle expérience de l’aventure humaine. Qu'ils soient là pour nous proposer, à travers leur vécu, une autre représentation de l’extraordinaire, destinée à chacun. L’exceptionnel n’est plus réservé à un fragment de la population mais devient la norme pour chacun d’entre nous.
Ce que nous percevons comme magique, impossible, irréel, est en réalité à portée de main si nous ouvrons notre regard sur les lois quantiques de la matière. Ce changement de regard nous offre la possibilité de nous transcender en tant que personnage central de notre propre vie.
Le propos n'est pas aboutir en tant qu'héros mais de comprendre ce que je libère en moi et autour de moi sur mon chemin de réalisation - et de création.
Sortir du modèle
de la survie
Nous avons construit notre modèle de créativité actuel sur la survie. Cela implique que notre créativité est motivé par la contrainte.
Qui dit contrainte, dit la nécessité d'un ennemi, d'une catastrophe, d'une absolue nécessité à trouver des solutions pour éviter le pire.
"Comment faire pour s'en sortir ? Allons-nous nous y parvenir ?" deviennent alors les questions centrales du récit.
Ce parcours permet de se déconnecter des images qui modélisent notre imaginaire actuel lié à la contrainte, pour allait vers celui de l'émergence créatrice et de l'émerveillement.
Il ne s'agit plus réussir une transition extérieure qu'elle soit écologique, sociale ou autre, mais de parvenir à opérer cette transmutation intérieure.